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Catalogues d'exposition

Olga de Amaral

Langue:

49  €

Du 12 octobre 2024 au 16 mars 2025, la Fondation Cartier pour l’art contemporain présente la première grande rétrospective en Europe d’Olga de Amaral, figure incontournable de la scène artistique colombienne et du Fiber Art. Réunissant une centaine d’œuvres de l’artiste, l’ouvrage qui accompagne l’exposition dévoile une œuvre lumineuse et inclassable, empruntant à la fois aux principes modernistes, aux traditions vernaculaires et à l’art précolombien. À travers de nombreuses photographies et des textes scientifiques, il rend compte de l’évolution de la pratique d’Olga de Amaral au fil du temps et de son rôle majeur dans la révolution de l’art textile.

Avec les contributions d’Ann Coxon, conservatrice et spécialiste de l’art textile ; de Lina Ghotmeh, architecte de l’exposition ; de Marie Perennès, commissaire de l’exposition ; et de María Wills Londoño, historienne de l’art.

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Éditeur Fondation Cartier pour l'art contemporain, Paris
Langues Version anglaise
Format

Broché, 22 × 22 cm, 300 pages

250 reproductions couleur noir et blanc

Design Sarah Martinon
ISBN 9782869251854
Parution octobre 2024

Ann Coxon

Ann Coxon est conservatrice et spécialiste de l’art textile. Elle a été commissaire de l’exposition Magdalena Abakanowicz, présentée à la Tate Modern en 2022, ainsi qu’au Musée cantonal des beaux-arts de Lausanne et au Henie Onstad Kunstsenter de Høvikodden, en Norvège, en 2023. Elle a également été commissaire de nombreuses expositions de la Tate Modern, dont Dorothea Tanning (2019), Anni Albers (2018), Beyond Craft (2017), Alexander Calder: Performing Sculpture (2015) et Saloua Raouda Choucair (2013). Elle est l’auteure de deux ouvrages : Motherhood (Tate Publishing, Londres, 2023) et Louise Bourgeois (Tate Publishing, Londres, 2010) et prépare actuellement une thèse sur l’art textile en Europe de 1960 à 1979.

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Lina Ghotmeh

Architecte franco-libanaise, Lina Ghotmeh a obtenu son diplôme à l’université américaine de Beyrouth puis à l’École supérieure d’architecture de Paris. Elle travaille pour Foster + Partners à Londres et les Ateliers Jean Nouvel à Paris, avant de remporter en 2005 le concours international pour le Musée national estonien de Tartu et de fonder l’année suivante l’agence DGT avec les architectes Dan Dorell et Tsuyoshi Tane pour mener à bien ce projet. Achevé en 2016, le Musée national estonien a été récompensé par le Grand Prix Afex en 2016 et nommé pour le prix Mies Van der Rohe en 2017. Fin 2016, elle fonde sa propre agence Lina Ghotmeh — Architecture à Paris avec laquelle elle a notamment conçu et livré la tour Stone Garden à Beyrouth en 2020, les ateliers de maroquinerie Hermès en France et le pavillon de la Serpentine à Londres en 2023.

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Marie Perennès

Marie Perennès est historienne de l’art et commissaire d’exposition indépendante. Spécialiste des arts latino-américains, ses recherches portent notamment sur les artistes femmes et la représentation des luttes sociales et politiques. Elle s’intéresse également à la déhiérarchisation des médiums artistiques et à la réconciliation de la figure de l’artiste avec celle de l’artisan. Elle a été conservatrice à la Fondation Cartier pour l’art contemporain à Paris de 2017 à 2024, avant de prendre la direction artistique de la Cristallerie Saint-Louis. Elle a notamment été commissaire des expositions Géométries Sud, du Mexique à la Terre de Feu (2018), Nous les Arbres (2019), Damien Hirst (2021), Graciela Iturbide (2022) et Olga de Amaral (2024).

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María Wills Londoño

María Wills Londoño est une conservatrice et chercheuse colombienne dont le travail s’intéresse à la fragilité de l’image contemporaine et questionne les discours historiques officiels sur l’art. Elle a été directrice et conservatrice au Banco de la República à Bogota de 2020 à 2024. En 2019, elle a été commissaire de MOMENTA – Biennale de l’image du Canada, qui remettait en question la catégorisation des objets culturels comme « exotiques » ou « non européens » dans le contexte de crise de la société de consommation. Elle a reçu le prix national de journalisme Simón-Bolívar en 2019 pour son essai « The Centenary of The Bauhaus: Of Conveniences and Connections », explorant les liens entre le Bauhaus, l’art contemporain et l’artisanat. Ses expositions ont été présentées dans des institutions du monde entier.

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